Les médias du monde entier ont amplement relayé cette actualité qui risque d’entacher la réputation de La London School of Economics and Political Science (LSE).
La prestigieuse école vient de se débarrasser d'un don d'une valeur de 1 500 000 livres sterling d’un ancien élève attaché à son université…mais néanmoins bien encombrant : Seif al-Islam Kadhafi, fils, dauphin et soutien du colonel libyen. Ce don était initialement destiné à financer un nouveau programme de recherche sur les relations entre « les droits de l'homme, les femmes et le développement, la société civile et la démocratie, la diversification économique ».
Certains pourront trouver dans le thème choisi une certaine ironie, plus nombreux sont ceux qui s’en indignent à l’instar de Howard Davies, directeur de la LSE, qui a publié une lettre ouverte adressée à la « communauté LSE » : « Je partage l'indignation des étudiants de la LSE qui se mobilisent contre les violations des droits de l'homme en Libye, et je regrette l'association du nom de l'école avec Saef al-Islam Kadhafi et les exactions commises par le régime libyen ». « Cet argent saigne, il n'a jamais appartenu à la LSE. Il doit être rendu entièrement au peuple libyen. » allait jusqu’à déclarer une étudiant irlandaise.
Le don pourrait donc être parfois une arme aux effets collatéraux à laquelle les fundraisers et les organisations devront être suffisamment vigilants pour savoir les anticiper.
La prestigieuse école vient de se débarrasser d'un don d'une valeur de 1 500 000 livres sterling d’un ancien élève attaché à son université…mais néanmoins bien encombrant : Seif al-Islam Kadhafi, fils, dauphin et soutien du colonel libyen. Ce don était initialement destiné à financer un nouveau programme de recherche sur les relations entre « les droits de l'homme, les femmes et le développement, la société civile et la démocratie, la diversification économique ».
Certains pourront trouver dans le thème choisi une certaine ironie, plus nombreux sont ceux qui s’en indignent à l’instar de Howard Davies, directeur de la LSE, qui a publié une lettre ouverte adressée à la « communauté LSE » : « Je partage l'indignation des étudiants de la LSE qui se mobilisent contre les violations des droits de l'homme en Libye, et je regrette l'association du nom de l'école avec Saef al-Islam Kadhafi et les exactions commises par le régime libyen ». « Cet argent saigne, il n'a jamais appartenu à la LSE. Il doit être rendu entièrement au peuple libyen. » allait jusqu’à déclarer une étudiant irlandaise.
Le don pourrait donc être parfois une arme aux effets collatéraux à laquelle les fundraisers et les organisations devront être suffisamment vigilants pour savoir les anticiper.
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